Accueil > Traitement de texte > exercices > Espaces autours des caractères
Espaces autours des caractères
mardi 2 octobre 2012
Le but de la manœuvre : réaliser un tableau avec Word ou Writer.
Encore un.
Jusque-là, rien que de très normal dans le déroulement ordinaire de nos séances.
Mais, cette fois-ci, le contenu de l’exo nous ramènera quelques semaines en arrière, lorsque nous avions abordé la question des espaces à mettre autour des signes de ponctuation (en particulier, les guillemets)
Voilà l’affaire, vu de loin :

Nous sommes donc en présence d’un exo « spécial traitement de texte++ », ou l’art de joindre l’utile au nécessaire, en quelque sorte.
Quant au contenu
Ce tableau, qui est avant tout outil pratique, ne vise nullement l’exhaustivité : on y trouve des ponctuations (mais pas toutes) et le trait d’union (qui n’est pas une ponctuation).
J’espère que cela vous permettra de récapituler, sous une forme synthétique, un petit aide-mémoire concernant « certains caractères particuliers accompagnés d’espaces ». Rien de plus.
Si la question des signes de ponctuation et des espaces vous taraude, je vous recommande de compléter la consultation de la présente page en effectuant quelques requêtes finement croisées sur le web. On y trouve beaucoup de choses sur la question, notamment dans Wikipédia.
Petite précision technique : le tableau ne fait nullement référence aux traditionnelles unités de mesure typographiques, telles que « le cadratin » ou « la fine », pour la simple raison que les logiciels Word et Writer sont incapables de traiter correctement ces espaces (notamment lors des corrections automatiques effectuées, par défaut, lors de la saisie des signes de ponctuation).
Nous nous en tiendrons donc à n’aborder que deux types d’espaces :
– Le caractère créé en appuyant simplement (une fois) sur la barre d’espace du clavier, comme celui qui sépare chaque mot.
– L’espace insécable, qui empêche la césure automatique en fin de ligne. Ce caractère étant généré par le raccourci clavier suivant : Ctrl – Maj + Espace.
Et laissons les règles typographiques strictes aux typographes, à leurs caractères de plomb, à leurs logiciels de PAO ainsi qu’à leur séduisante et folklorique féminisation de mot ordinaire masculin…
Quant au contenant
Et si on parlait peu du tableau ?
Autant vous l’avouer maintenant : je n’ai prévu aucune consigne technique particulière pour réaliser cet exercice. Débrouillez-vous.
Ne partez pas.
Il suffit juste, comme d’habitude, de récupérer les modèles en fichiers joints (au format ZIP).
Cette fois-ci, par contre, il sera absolument nécessaire de vous munir d’un papier et d’un crayon, d’observer assez précisément le modèle et de noter les paramètres suivants :
– les propriétés de la page (notamment les marges)
– les propriétés générales du tableau (largeur du tableau, largeur des colonnes, alignement ; etc.)
– la taille des textes, ainsi que la police
– les couleurs de fonds
– la couleurs des bordures
Et plein d’autres petits plaisirs que je vous laisse découvrir (notamment les propriétés des lignes).
En prime, vous découvrirez (par vous-même) comment insérer des notes en bas de page.
Si vous ne voulez pas taper le texte, je vous mets à disposition le fichier au format « texte brut » (il vous faudra quand même saisir les notes).
Dernière précision : récupérez bien le modèle qui correspond à votre suite bureautique. Les deux tableaux se ressemblent mais il ne s’agit pas du tout du même document.
Chaque version a été réalisée à partir du programme natif, avec des paramètres et des réglages spécifiques.
Prenez le temps nécessaire.