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Canasson paisible [1]

samedi 5 avril 2008

Servez-vous. Les documents sont stockés tout en bas, dans l’archive ZIP, comme d’habitude.

Afin d’éviter toute confusion, voici la liste des éléments avec lesquels nous allons travailler :

 la photo du cheval (800 * 600 pixels)

 la photo du paysage (1600 * 1200 pixels)

 le modèle qui a été réduit à 800 * 600 pixels, sachant que votre document de travail, par contre sera bien à 1600 * 1200 pixels.

Si les dimensions de vos images ne correspondent pas à ces indications, cela signifie que vous avez une version erronée de l’archive zip, téléchargez-la à nouveau.

Première étape : le détourage

On va en profiter pour passer en revue les principaux outils de sélection.

On commence avec l’outil plume pour les parties les plus délicates à traiter.(voir le support)

Vous savez, il n’est pas nécessaire d’essayer de finaliser le détourage pour le mémoriser !

Alors, autant boucler le tracé, même si c’est incomplet.

On récupère le tracé pour le transformer en sélection…

… et on le mémorise.

Voilà, c’est déjà ça de pris.

Un petit coup de baguette magique (option « Soustraire ») pour retirer le sol.

On peut continuer, par exemple, en passant par le mode masque (voir le support) sur les parties à faible contraste.

Dans un premier temps on dégage largement (couleur de premier plan : Blanc), puis on affine le contour en redessinant le bord du foulard (touche X du clavier pour intervertir Premier plan / Arrière plan).

Gros plan sur la tête. On reprend l’outil plume. Là encore, cet outil est idéal pour délimiter les formes courbes parfaitement. Remarquez que les tonalités de l’arrière-plan, partie inférieure, se confondent avec l’objet à détourer.

On récupère encore le tracé…

… pour l’ajouter à la sélection.

Pensez à enregistrer régulièrement le document (CTRL+S) : n’oubliez pas que, même si vous mémorisez la sélection, vous n’êtes pas à l’abri d’un plantage qui vous ferait perdre votre travail…

Autre outil pour le cou : le lasso magnétique.

C’est assez efficace, non ?

On peaufine le museau en mode masque. Ici, il faut rectifier en traçant une droite : clic avec l’outil pinceau (fin) + MAJ et second clic.

En adaptant la tolérance, la baguette magique (option « Soustraire ») devrait faire l’affaire.

Quant à cette partie, inutile de s’embêter : dans un premier temps, un coup de baguette magique pour attraper ce qui peut être facilement sélectionné (les tons chair). Puis ensuite, c’est certainement le lasso polygonal qui devrait le plus utile : on englobe les parties à ajouter (les tons sombres).

Même traitement pour le bracelet.

Voilà qui devrait convenir, dans un premier temps.

Attention, il faut bien vérifier que la sélection active correspond à celle qui est mémorisée en tant que "détourage cheval". N’hésitez pas à remplacer la sélection, en cas de doute :

Pour la suite des opérations, il est nécessaire de déverrouiller le calque de fond : double clic sur le cadenas.

Tant qu’à faire, on le renomme.

Et là, attention, voici une varriante de la commande permettant de créer un masque de fusion ; une fonctionnalité essentielle, découverte avec l’exo du sphinx.

Tout en conservant la sélection, on passe par le menu Calque pour ajouter un masque de fusion. Important : il faut faire apparaître la sélection.

Voici une méthode très utile qui permet d’éviter de se demander si c’est la sélection active qui sera détourée ou l’inverse.

On retrouve immédiatement la petite vignette caractéristique du masque placée à côté de celle du calque.

Prochain support : affiner le détourage du masque de fusion.

 

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