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Canasson paisible [3]

samedi 5 avril 2008

Étape précédente : corriger un détourage à partir du masque de fusion (palette calques) puis, récupérer un masque à l’aide des couches.

Il va falloir modifier la taille de la zone de travail du document actif. Nous devons intégrer un décor dont la taille est supérieure à celle du fichier sur lequel nous travaillons.

Autant s’en charger dès maintenant ; clic droit sur la barre de titre de l’image :

Là j’indique la taille du document « paysage_paisible » :

Je duplique le calque actif :

N’ayant plus besoin de l’original, je désactive l’affichage :

Il sera plus commode de travailler sur ce calque sans le masque de fusion ; pour autant, je souhaite conserver le détourage. Voici la procédure :

Observez la palette calque : le masque de fusion a disparu et le motif est toujours détouré.

Je déplace le calque « fond de travail » afin de l’intercaler immédiatement en dessous du calque actif.

Il va maintenant falloir corriger les parties manquantes du cheval. Il est préférable de délimiter petit à petit chacune des zones. L’outil lasso fera très bien l’affaire.

Avec le tampon de duplication (voir support) j’ajoute de la matière…

La correction peut être considérée comme satisfaisante.

En intervertissant immédiatement la sélection active, je peux facilement corriger la partie qui se trouve en bord à bord.

Allons-y doucement pour compléter, dans un premier temps, ce morceau-là !

Cela ira pour l’instant. Passons aux pattes arrière.

Même traitement, à base de zones sélectionnées et de tampon de duplication.

Il me faut, à présent, récupérer cette forme de sabot !

Tout en restant sur le même calque, je clique sur le fond à l’aide de la baguette magique, pour sélectionner l’arrière-plan (transparent), puis « intervertir » la sélection (CTRL-MAJ + I).

Du coup je récupère tout mon canasson, mais, répétons-le : la seule chose qui m’intéresse, pour l’instant, c’est le sabot. Je prends donc l’outil rectangle puis j’active l’option « intersection »…

… afin de tracer la zone recherchée.

La forme de sabot.

Comme je vais effectuer quelques manipulations hasardeuses, il est probable que je n’y arrive pas du premier coup. Je me donne donc la possibilité de récupérer directement cette sélection.

Autant la mémoriser, cela évitera de recommencer les dernières opérations pour rien :

Cette sélection, je dois la récupérer pour redessiner les parties manquantes des pattes avant. Je vais donc transformer la sélection.

Il est préférable, pour cela, de passer par le menu « Sélection / Tranformer la sélection » (bien que ce ne soit pas la seule méthode) :

Quel que soit l’outil en main, je vais pouvoir déplacer la sélection…

… puis la faire pivoter…

… afin de la mettre en repérage avec le motif.

Puis je pourrais également la redimensionner, en prenant une des poignées.

Dès que la forme me convient, il faut obligatoirement valider la transformation en appuyant sur la touche Entrée du clavier.

Il ne faut hésiter à transformer ce qui existe déjà pour l’adapter à notre vision des choses. Vous savez, on peut faire ces choses-là, si, si.

Par exemple, ce morceau de sabot qui dépasse effrontément à gauche de ma sélection, ça fait plutôt désordre, non ?

Alors, c’est décidé : je vais le supprimer. Mais avant, attention ; je ne dois pas oublier que ma sélection active est la forme du sabot en positif. Par conséquent si je veux redessiner la forme en supprimant de la matière ; il va falloir intervertir la sélection :

Et ça gomme, et ça gomme.

Une fois que l’extérieur est remodelé, on intervertit à nouveau la sélection (CTRL-MAJ + I) afin de remplir la forme du sabot de l’intérieur, cette fois-ci.

On peut se contenter du « vite fait », à l’aide du tampon de duplication.

Pas bien terrible, mais on va dire que ça ira pour la première couche de peinture.

Comme je suis plutôt du genre à ne pas vouloir recommencer inutilement ce qui a déjà été fait ; non seulement j’enregistre mon fichier en permanence (ça, je n’ai pas à vous le rappeler, n’est-ce pas ?) mais, en plus, je mémorise cette nouvelle sélection. On ne sait jamais, ça peut servir !

Bon, maintenant, il va falloir faire un effort pour améliorer cette pauvre patte.

On récupère la sélection, puisqu’elle est mémorisée !

Puis on commence par le modelé en s’inspirant des tons qui se trouve un peu plus haut sur la patte. Soit au tampon, soit directement au pinceau ; c’est comme vous le sentez.

On termine par … je ne sais pas, moi, c’est les ongles, ça, non ? Bref, c’est pris sur la patte de derrière.

Voilà ça ira pour l’instant.

Prochain support, l’intégration de l’arrière plan (d’eau).

 

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